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26 février 2011

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Il me semble - l'auteur de ce livre sûrement intéressant en parle peut-être - que les parents doivent "donner l'exemple" ; à savoir (selon évidemment leurs disponibilités, à chacun d'inventer) apprendre eux-mêmes ou "réviser", ceci devant leurs enfants : une langue étrangère, un instrument de musique, des maths...Ne pas seulement dire à leurs enfants : "il faut lire" mais lire devant eux, parler avec eux de leurs lectures, de l'actualité.
L'idéal est selon moi que les parents demandent eux-mêmes à leurs enfants de leur apprendre, donc renversent les rôles : "peux-tu m'expliquer ce que tu as appris aujourd’hui en anglais, en biologie, en calcul, etc"
Il y a une question par ailleurs un peu sous-estimée à mon avis : les nombreux parents étrangers ou d'origine étrangère qui maîtrisent mal le français. Ce "handicap" risque de se transmettre au moins partiellement à leurs enfants, donc leur rendre plus difficile leur parcours scolaire. Il faudrait, selon moi, organiser avec tact, mais de manière clairement incitative de nombreux « cours » de français pour adultes. L'Etat et les collectivités territoriales pourraient donner l'exemple. Dans l'administration où je travaille, beaucoup de dames chargées de l'entretien (salariées d’ailleurs par des entreprises sous-traitantes) parlent très mal français et sans doute ne l'écrivent pas ou peu. Or elles ont des enfants scolarisés qui suiventIl me semble - l'auteur de ce livre sûrement intéressant en parle peut-être - que les parents doivent "donner l'exemple" ; à savoir (selon évidemment leurs disponibilités, à chacun d'inventer) apprendre eux-mêmes ou "réviser", ceci devant leurs enfants : une langue étrangère, un instrument de musique, des maths...Ne pas seulement dire à leurs enfants : "il faut lire" mais lire devant eux, parler avec eux de leurs lectures, de l'actualité.
L'idéal est selon moi que les parents demandent eux-mêmes à leurs enfants de leur apprendre, donc renversent les rôles : "peux-tu m'expliquer ce que tu as appris aujourd’hui en anglais, en biologie, en calcul, etc"
Il y a une question par ailleurs un peu sous-estimée à mon avis : les nombreux parents étrangers ou d'origine étrangère qui maîtrisent mal le français. Ce "handicap" risque de se transmettre au moins partiellement à leurs enfants, donc leur rendre plus difficile leur parcours scolaire. Il faudrait, selon moi, organiser avec tact, mais de manière clairement incitative de nombreux « cours » de français pour adultes. L'Etat et les collectivités territoriales pourraient donner l'exemple. Dans l'administration où je travaille, beaucoup de dames chargées de l'entretien (salariées d’ailleurs par des entreprises sous-traitantes) parlent très mal français et sans doute ne l'écrivent pas ou peu. Or elles ont des enfants scolarisés qui suivent les mêmes programmes que leurs camarades francophones familialement.

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