« L’idée ne nous viendrait pas que la souris est clémente parce qu’elle se laisse dévorer par le chat », disait Gandhi, qui inspira à Martin Luther King et Nelson Mandela deux formes de combat divergentes.
Sylvie Laurent dans une note de la Vie des Idées, s’interroge sur les limites de la non-violence, qui ne fut jamais pour le Mahatma qu’une forme particulière de la lutte. Faut-il choisir entre Gandhi et Lénine pour obtenir la libération d’un peuple opprimé?
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