Vous pouvez découvrir mon nouveau blog à cette adresse : http://dominiquegambier.fr/
Vous pouvez découvrir mon nouveau blog à cette adresse : http://dominiquegambier.fr/
Rédigé à 09:08 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
| |
Ce blog est un lieu de rencontre , de discussion, de réflexion depuis maintenant plus de 7 ans. Près de 2000 billets y ont été publiés et vous êtes de plus en plus nombreux à le consulter.
Regards sur la vie politique, sur l'Europe ou notre région, sur notre vie économique et sociale.
Il était légitime que nous procédions à une modernisation de son look.
C'était d'autant plus urgent que le serveur qui l'hébergeait à fait l'objet d'attaques paralysantes en Californie .
Vous trouverez le nouveau blog à cette adresse. Dans quelques semaines vous serez bascules automatiquement vers lui !
Bonne lecture
Pour l'instant taper "dominiquegambier.fr" sur google pour acceder au nouveau blog : merci !
Rédigé à 08:30 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
| |
2014 est l’Année Internationale de la Cristallographie : à cette occasion , le prochain forum des savoirs, organisé par Science action à l’hôtel de région , Le jeudi 22 mai à 20h30, portera sur le thème « du diamant à l'ADN, ou comment les atomes s'ordonnent dans les solides » .
C’est Denis Gratias, Directeur de Recherches au CNRS, Professeur à l'Ecole polytechnique et à l'Ecole Nationale Supérieure de Chimie de Paris, Membre correspondant de l'Académie des Sciences, Médaille d'Argent du CNRS, prix Jean Ricard de la SFP, qui interviendra.
Les cristaux ont fasciné les hommes depuis la nuit des temps par leur capacité à réfléchir et réfracter la lumière. Mais ce n'est qu'au 18ème siècle que nait la cristallographie avec l'abbé Haüy qui établit une classification systématique des cristaux à partir des orientations relatives de leurs facettes naturelles.
Au début du 20ème siècle, les expériences de Von Laue de diffraction des rayons X, conduisent à la définition microscopique des cristaux : un cristal est un solide dont les atomes sont distribués de façon triplement périodique dans l'espace. Cette propriété fondamentale n'autorise qu'un petit nombre de symétries des arrangements atomiques.
La répétition périodique d'un arrangement atomique est ainsi considérée comme la seule possibilité d'ordre géométrique et les cristaux comme les seuls solides ordonnés de l'univers. La découverte des quasicristaux en 1982 (Nobel 2011) — solides aux propriétés paradoxales de cristaux présentant des symétries incompatibles avec la périodicité — va bouleverser ce paysage, remettre en question les fondements de la cristallographie et lui donner une nouvelle jeunesse.
Parallèlement, les moyens modernes d'investigation de la structure de la matière modifient en profondeur notre visualisation du monde à l'échelle atomique, de la physique et la chimie à la biologie et la médecine.
Pour vous inscrire : cliquer ici
L'ensemble des sessions sera retransmis sur ce site, en direct de l'Hôtel de Région : Cliquer ici pour accéder au direct
Rédigé à 08:14 dans Actualité, culture, Education, Région, Université/recherche | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
| |
En France, La Fête du Travail se confond avec la journée internationale des travailleurs, fête internationale instaurée à l'origine comme journée annuelle de grève pour la réduction du temps de travail, et qui devint rapidement une journée de célébration des combats des travailleurs. Elle tire son origine des combats du mouvement ouvrier pour obtenir la journée de huit heures, à la fin du XIXe siècle.
Aux États-Unis, au cours de leur congrès de 1884, les syndicats américains se donnent deux ans pour imposer aux patrons une limitation de la journée de travail à huit heures. La grève générale du 1er mai 1886, impulsée par les anarchistes, est largement suivie. Ils sont environ 340 000 dans tout le pays.
À Chicago, la grève se prolonge dans certaines entreprises, et le 3 mai 1886, une manifestation fait trois morts parmi les grévistes de la société McCormick Harvester. Le lendemain a lieu une marche de protestation et dans la soirée, tandis que la manifestation se disperse à Haymarket Square, il ne reste plus que 200 manifestants face à autant de policiers. C’est alors qu'une bombe explose devant les forces de l’ordre. Elle fait un mort dans les rangs de la police. Sept autres policiers sont tués dans la bagarre qui s’ensuit. À la suite de cet attentat, cinq syndicalistes anarchistes sont condamnés à mort.
En 1889, la IIe Internationale socialiste se réunit à Paris, à l'occasion du centenaire de la Révolution française et de l’exposition universelle. Sous l’impulsion de Jules Guesde et sur une proposition de Raymond Lavigne, cette Internationale décide le 20 juillet 1889 de faire de chaque 1er mai une journée de manifestation avec pour objectif la réduction de la journée de travail à huit heures (soit 48 heures hebdomadaires, le dimanche seul étant chômé).
Le 1er mai 1890, l'événement est ainsi célébré dans la plupart des pays, avec des participations diverses.
Le 1er mai 1891, à Fourmies, dans le Nord, en France, la manifestation tourne au drame : la police tire sur les ouvriers et fait neuf morts. Avec ce nouveau drame, le 1er mai s’enracine dans la tradition de lutte des ouvriers européens. Les militants épinglent une églantine écarlate, fleur traditionnelle du Nord, en souvenir du sang versé et en référence à Fabre d'Eglantine11.
Le 24 avril 1941, le maréchal Pétain instaure officiellement par la loi Belin le 1er mai comme « la fête du Travail et de la Concorde sociale », appliquant ainsi la devise Travail, Famille, Patrie À l’initiative de René Belin, ancien dirigeant de l’aile anticommuniste de la CGT devenu secrétaire d’État au travail dans le gouvernement de François Darlan, le jour devient férié, chômé et payé. La radio ne manque pas de souligner que le 1er mai coïncide aussi avec la fête du saint patron du maréchal, saint Philippe. L’églantine rouge, associée à la gauche, est remplacée par le muguet. Cette fête disparaît à la Libération.
En avril 1947, sur proposition du dé¬puté socialiste Daniel Mayer et avec le soutien du ministre communiste du Travail Ambroise Croizat, le 1er mai est ré institué jour chômé et payé dans le code du travail, sans être une fête nationale. Ce n’est que le 29 avril 1948 qu’est officialisée la dénomination « fête du Travail » pour le 1er mai.
Cette fête disparaît dans les années 1950 et 1960, les défilés étant interdits lors des guerres d'Indochine et d'Algérie, il faut attendre le 1er mai 1968 pour que la CGT organise une grande manifestation dans les rues de Paris. Des manifestations syndicales, voire intersyndicales ou unitaires (selon les années, les revendications et les mouvements sociaux en cours), ont lieu dans les grandes villes de France le 1er mai.
Certains partis tentent de se réapproprier cette fête, tel le Front national qui y défile depuis 1988 pour rendre hommage à Jeanne d'Arc ou l'UMP du président de la République Nicolas Sarkozy qui rassemble ses partisans en 2012 en se réclamant de la fête du « vrai travail ».
Rédigé à 07:21 dans Actualité, International, social | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
| |
Rédigé à 08:14 dans Actualité, Déville lès Rouen | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
| |
Aux cotés de Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Région Haute- Normandie, j’ai eu plaisir, en tant que Vice Président chargé de la l’économie,de la recherche et des affaires européennes, de recevoir récemment à la région, les jeunes chercheurs dont l’allocation doctorale est financée par la collectivité régionale.
L’occasion d’échanger sur leur intégration en Haute-Normandie, leur thèse et leurs projets futurs.
Le soutien aux jeunes chercheurs est un enjeu très important pour notre territoire et son attractivité. Depuis 2010, le nombre d’allocations doctorales financées par la Région a doublé, conformément aux engagements pris lors de l’élection de 2010. Le transfert des fonds européens et le futur schéma régional de l’enseignement supérieur et de la recherche qu’elle est chargée d’élaborer viendront renforcer cette politique.
La Région accompagne financièrement les établissements d’enseignement supérieur et de recherche afin qu’ils puissent salarier un ou plusieurs doctorants ou post doctorants dans leurs laboratoires pendant un à trois ans, selon le type d’allocation accordée.
Un doctorant est un étudiant qui s’engage pour trois ans à la réalisation de travaux scientifiques qui se concrétiseront dans une thèse. Cette thèse validée lui confère le titre de docteur. Un post doctorant est un jeune chercheur thésard qui poursuit ses travaux de recherche.
La Région finance ainsi chaque année, 50 nouvelles allocations doctorales et en cofinance, à 50%, 10 avec d’autres organismes (CNRS, INSERM…). Les jeunes chercheurs peuvent ainsi mener leur projet de recherche ou de thèse dans un laboratoire régional.
600 thèses ont été soutenues depuis le lancement de ce dispositif. Cette année, 160 chercheurs bénéficient de cette allocation, répartis sur une quarantaine de laboratoires. La Région y consacre 5,5 millions d’euros.
Les jeunes chercheurs peuvent être confrontés à de réelles difficultés au moment de leur insertion professionnelle. Pour encourager leur venue en Haute- Normandie et leur maintien dans les laboratoires publics et les centres de recherche des entreprises, la Région propose un dispositif attractif d’aide aux doctorants. Tous les “allocataires Région” bénéficient durant trois ans d’un véritable salaire avec couverture maladie, maternité et retraite.
Avec les entreprises, la Région verse une subvention forfaitaire à l’entreprise qui recrute le doctorant pendant trois ans.
En créant l’allocation postdoctorale de recherche, la Région souhaite attirer en Haute-Normandie de jeunes chercheurs prometteurs (aide au retour et accueil de chercheurs étrangers).
La Recherche en quelques chiffres :
- 5 Grands Réseaux de Recherche soutenus par la Région;
- 2/3 des effectifs de recherche haut-normands dans le privé ;
- 1 doctorant sur 3 est étranger ;
- 8e région de France pour la demande de brevets (essentiellement pour la chimie, matériaux et procédés ;
- le territoire régional comprend 3 pôles de compétitivité dont 1 à vocation mondiale et des filières actives en termes de Recherche, Développement et Innovation.
Rédigé à 11:43 dans Actualité, Région, Université/recherche | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
| |
Au cours de la campagne, j'ai beaucoup entendu : pourquoi tant d'annonces non suivies d'effet? Pourquoi autant de discours contradictoires par certains ministres ? Pourquoi autant de déclarations inopportunes? Mais ou va t on?....
Ces couacs, ces incohérences, ces hésitations, ces dissensions ....le président de la République a voulu y mettre fin, et c'est tant mieux! Valls à une image d'ordre et de volonté qui "colle" bien à ces enjeux, il faut maintenant que cela se traduise dans les faits. Un gouvernement ramassé, composé de responsables expérimentes ne peut être qu'un atout.
N'oublions pas que pour ces municipales, les électeurs ont fait payer ces dissensions, à ceux qui en étaient à l'origine, ou qui n'avaient pas su les dépasser.
Pendant cette campagne, je n'ai pas entendu de personnes me dire qu'il fallait amplifier la dette, qu'il fallait accroître les impôts ou charges, que le dialogue avec les partenaires sociaux était inutile, ou qu'iĺ ne fallait pas entendre les entreprises sur leur perte de compétitivité, en particulier les PME: ceci pour dire que ces enjeux doivent rester des préoccupations par rapport à la lutte contre le chômage.
Bien sur la mise en œuvre des telles orientations est une question d'équilibre et il faut sans doute accorder plus d'attention encore à un partage équitable de l'effort; il faut sans doute dans la réduction des dépenses publiques faire attention à préserver l'investissement indispensable pour l'emploi et la croissance. Mais pitié ne rentrons pas dans un débat sans intérêt car biaisé de "plus à gauche" ou "plus à droite", surtout quand on fait parler ceux qui se sont abstenus, ou que l’on fait croire à ceux qui ont voté à droite , voir à l’extrême droite qu’ils veulent « plus de gauche » !
Il nous faut aussi intégrer une forte demande de changement dans les pratiques politiques, la crédibilité de la parole publique, la gestion des affaires.....que j'évoquais ici il y a quelques temps. Il nous faut aussi interpeller le PS , qui est devenu un soutien virtuel car inexistant au gouvernement, en ne donnant plus de sens politique aux décisions prises, en n'étant plus un lieu de débats pour éclairer les choix nécessaires.....en n'étant à peine que le lieu de gestion de carrières de quelques uns.
Il faudra bien reprendre le débat sur la place d'un parti de gouvernement, sur la place du politique par rapport aux technostructures, sur la place du dialogue social par rapport à la décision politique.
La gauche ne peut plus passer d'une période politique à l'autre, en occultant la précédente!
J'en parlais hier matin sur France Bleu :
Rédigé à 08:46 dans Actualité, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
| |
Installation dimanche matin à Déville, à 10h du nouveau conseil municipal et élection du Maire et des adjoints ! et après au travail !
Pour les nouveaux élus, voici quelques éléments d’information qui peuvent les aider à mieux comprendre nos institutions. Le Centre national de la fonction publique territoriale met en effet à disposition des collectivités territoriales deux kit "élections 2014" pour les accompagner dans l’organisation des bureaux et opérations de vote et dans l’accueil des nouveaux élus :
- un kit "scrutin" qui s’articule autour de onze clips vidéo. D’une durée moyenne d’environ 1 minute 10, ces clips présentent les grandes étapes du déroulement d’un scrutin (les personnes autorisées à voter ; les différents cas de nullité des bulletins…)
- un kit "bien débuter le mandat" comprenant trois films
Par ailleurs, Retrouvez dans ce guide les notions-clés sur la vie communale et intercommunale. Conçu sous forme de 50 fiches thématiques (voir ci-dessous), il présente, pour accompagner au quotidien élus et fonctionnaires, l’organisation et les moyens d’action dont disposent ces structures. Chaque fiche comprend des points de vigilance, et, de façon systématique, les références aux textes juridiques applicables avec des renvois sur des liens interactifs.
Fiche 4: Notions-clés sur la composition du conseil municipal (mise à jour : février 2014)
Fiche 5: Notions-clés sur le rôle du conseil municipal (mise à jour : février 2014)
Fiche 6: Notions-clés sur la préparation du conseil municipal (mise à jour : février 2014)
Fiche 7: Notions-clés sur le fonctionnement du conseil municipal (mise à jour : février 2014)
Fiche 8: Notions-clés sur l’exécution des décisions du conseil municipal (mise à jour : février 2014)
Fiche 9: Notions-clés sur le maire (mise à jour : février 2014)
Fiche 10: Notions-clés sur les adjoints au maire (mise à jour : février 2014)
Fiche 12: Notions-clés sur les grands principes de l’intercommunalité (mise à jour : février 2014)
Fiche 13 : Notions-clés sur les différentes structures intercommunales (mise à jour : février 2014)
Fiche 14 : Notions-clés sur les services publics locaux (mise à jour : février 2014)
Fiche 15 : Notions-clés sur les pouvoirs de police du maire (mise à jour : février 2014)
Fiche 17 : Notions-clés sur les frais des élus locaux (mise à jour : février 2014)
Fiche 19 : Notions-clés sur les obligations de transparence imposées aux élus locaux (mise à jour : février 2014)
Fiche 24 : Notions-clés sur les responsabilités des élus locaux (mise à jour : février 2014)
Rédigé à 08:56 dans Actualité, Déville lès Rouen | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
| |
Progression continue de l'abstention, croissance exceptionnelle du FN, chute de certains bastions de gauche des le premier tour....mais au delà du constat, Que peut on en dire?
C'est d'abord et surtout une crise de confiance, une crise de la politique, une crise de la parole publique. C'est un phénomène qui s'accentue d'années en années et contre lequel on semble impuissant.
Crise de crédibilité de la parole publique, en raison des décalages entre les promesses et les mises en œuvre : les exemples abondent qui accentuent le décalage entre les discours dans l'opposition et les discours au pouvoir.
Crise de perspective, lorsque l'instantanéité prend le pas sur toute perspective de long terme, lorsque les positionnements de circonstance conduisent à des critiques incomprises ou contradictoires.
Crise de la décision, lorsqu'on ne sait plus qui décide dans la complexité institutionnelle, ou face à une technostructure de plus en plus omniprésente.
Crise de la pensée lorsqu'on en reste à des schémas dépassés dans une globalisation qui bouleverse tout, qui en reste à une vision hexagonale de nos problèmes
Crise des appareils politiques, à travers leur mode de fonctionnement ou leur perte de représentativité.
Dans ce contexte, les problèmes individuels prennent le pas sur la vision collective, les réactions émotives ou les peurs ne sont plus canalisées. Il devient au contraire plus facile de les utiliser, et utiliser uniquement les peurs anti FN ne pourra être efficace pour le combattre. C'est un travail de contact, de proximité, d'explication qu'il faut opposer.
Michel Rocard voulait "convaincre" car il savait que c'était le seul moyen de concilier le réel et la raison. C'est cette force de conviction sur le fond qu'il faut retrouver, par le contact, la proximité, et la clarté dans les choix.
Rédigé à 10:37 dans Actualité, Politique | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
| |
"La liste,"DEVILLE, ma ville" a obtenu la confiance de 58 % des électeurs ; je veux les remercier et au delà remercier tout ceux qui ont accompli leur devoir de citoyen en participant au vote.
Face à deux listes adverses, mal ficelées et deux projets déconnectées des réalités de notre commune, "DEVILLE, ma ville" a joué la clarté : une liste de rassemblement et de renouvellement autour d'hommes et de femmes connues pour leur investissement au service de la commune, et des orientations à la fois réalistes et en phase avec les préoccupations des Dévillois.
Je suis heureux et fier du résultat. Je mesure le travail et les difficultés qui sont devant nous, mais la confiance des Dévillois est essentielle pour réussir et avancer dans les années qui viennent"
Résultats des élections municipales sur Deville Mars 2014:
Inscrits : 7099 ; Votants : 3643 , soit 51,32 % de participation ; Nombre d'exprimes : 3471
1 Liste "DEVILLE, ma ville», conduite par Dominique Gambier : 2012 voix soit 57,97% des exprimes : 27 élus municipaux et 3 Élus communautaires
2 Liste FN : 883 Voix, soit 25,44% des exprimés : 4 élus municipaux et 0 Élu communautaire
3 Liste Kacimi (UDI): .... Voix, soit % des exprimes : 2 élus municipaux et 0 Élu communautaire :
Rappel des Résultats des élections de mars 2008:
Inscrits : 7020 ; Votants : 4005 soit 57,05% de participation ; Nombre d'exprimes : 3862
Liste Gambier (gauche): 2595 voix soit 67,19% des exprimés : 28 élus
Liste UMP/UDI: 1267 voix soit 32,81% des exprimés : 5 élus
En 2001 ,où il y avait également 3 listes: les résultats étaient : 55,69% pour la gauche, 35,23% pour l'UMP-UDI, et 0,07% pour une liste indépendants
Rédigé à 20:00 dans Actualité, Déville lès Rouen, Politique | Lien permanent | Commentaires (5) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| | Envoyer sur Digg
| Envoyer sur del.icio.us
|
| |
Les commentaires récents